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Animalia Fashion : l'exposition sauvage.

Nature et haute couture font ménage au Palazzo Pitti de Florence jusqu'au 5 mai 2019.

Cet événement offre aux visiteurs une fantastique promenade entre nature et mode tout au long des 18 salles de l’exposition. On y trouve une centaine de pièces prêtées par les plus grandes maisons de mode internationales, mais aussi par le musée d’anthropologie et d’ethnographie de Florence. Bonaveri a produit pour l’occasion 50 bustes sur mesure avec bras articulés.

L’exposition

L’impact visuel est fort et les combinaisons inattendues. Les créations de designers confirmés et émergents font face à des dessins tirés d’anciens bestiaires. Des animaux empaillés ou des insectes naturalisés façon cabinet de curiosités côtoient accessoires et bijoux.

Le pouvoir attractif et séduisant de la nature et du monde animal capture l’imagination et l’ingéniosité de nombreux stylistes. Les animaux deviennent ainsi les sujets de robes de rêves, de chaussures et de sacs sophistiqués ou de bijoux extraordinaires.

De véritables chefs-d’œuvre réalisés par les plus belles maisons de couture et réinterprétés de manière poétique.

Dans cette collection de près de cent pièces, les bustes deviennent les créatures d’un bestiaire moderne et poétique. C’est également un hommage aux qualités artistiques et techniques de la mode contemporaine.
Eike Schmidt directeur des Gallerie degli Uffiz

Les inspirations

De la France à l’Italie en passant par la Chine et la Russie, les vêtements exposés offrent aux visiteurs un aperçu étonnant de ce que la nature peut offrir à la haute couture en termes d’inspiration et d’atmosphère. La mode peut nous prendre par surprise, elle peut libérer notre imagination.
Ici pas d’imprimés léopard ni de zébrures. Ils cèdent leur place aux insectes, hérissons, cygnes, homards, serpents, coquillages, poissons et coraux.

L’exposition explore les relations que la mode établit avec les animaux de manière ludique et poétique, mais en même temps, elle sonne l’alarme à un moment où le changement climatique et l’intérêt croissant des superpuissances pour les questions environnementales mettent en danger d’innombrables espèces.

Thierry Mugler, Jean-Paul Gaultier, Alexander Mc Queen ou plus récemment Yiquing Yin sont allés puiser dans l’imagerie animale, s’inspirant d’insectes, de coraux, d’oiseaux et de papillons.

À propos du Palazzo Pitti

Acquis en 1550, le palais fut choisi par Cosme de Medicis et son épouse Eléonore de Tolède comme nouvelle résidence grand-ducale. Le palais devint rapidement le nouveau symbole du pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce fut aussi le palais royal de deux autres dynasties: la Maison Lorraine-Habsbourg (qui succéda aux Médicis de 1737) et les rois d’Italie de la Maison de Savoie, qui l’occupa depuis 1865.

Néanmoins, le palais porte encore le nom de son premier propriétaire, le banquier florentin Luca Pitti. Il avait ordonné sa construction au milieu des années 1400 au pied de la colline de Boboli, au-delà de l’Arno.

Aujourd’hui, le palais est divisé en quatre musées: le Trésor des Grands-Duc au rez-de-chaussée, la galerie Palatine et les appartements royaux et impériaux au premier étage, la galerie d’art moderne et le musée du costume et de la mode au deuxième étage.

Crédits : FirenzeFiera ; Uffizi.it

Cet événement offre aux visiteurs une fantastique promenade entre nature et mode tout au long des 18 salles de l’exposition. On y trouve une centaine de pièces prêtées par les plus grandes maisons de mode internationales, mais aussi par le musée d’anthropologie et d’ethnographie de Florence. Bonaveri a produit pour l’occasion 50 bustes sur mesure avec bras articulés.

L’exposition

L’impact visuel est fort et les combinaisons inattendues. Les créations de designers confirmés et émergents font face à des dessins tirés d’anciens bestiaires. Des animaux empaillés ou des insectes naturalisés façon cabinet de curiosités côtoient accessoires et bijoux.

Le pouvoir attractif et séduisant de la nature et du monde animal capture l’imagination et l’ingéniosité de nombreux stylistes. Les animaux deviennent ainsi les sujets de robes de rêves, de chaussures et de sacs sophistiqués ou de bijoux extraordinaires.

De véritables chefs-d’œuvre réalisés par les plus belles maisons de couture et réinterprétés de manière poétique.

Dans cette collection de près de cent pièces, les bustes deviennent les créatures d’un bestiaire moderne et poétique. C’est également un hommage aux qualités artistiques et techniques de la mode contemporaine.
Eike Schmidt directeur des Gallerie degli Uffiz

Les inspirations

De la France à l’Italie en passant par la Chine et la Russie, les vêtements exposés offrent aux visiteurs un aperçu étonnant de ce que la nature peut offrir à la haute couture en termes d’inspiration et d’atmosphère. La mode peut nous prendre par surprise, elle peut libérer notre imagination.
Ici pas d’imprimés léopard ni de zébrures. Ils cèdent leur place aux insectes, hérissons, cygnes, homards, serpents, coquillages, poissons et coraux.

L’exposition explore les relations que la mode établit avec les animaux de manière ludique et poétique, mais en même temps, elle sonne l’alarme à un moment où le changement climatique et l’intérêt croissant des superpuissances pour les questions environnementales mettent en danger d’innombrables espèces.

Thierry Mugler, Jean-Paul Gaultier, Alexander Mc Queen ou plus récemment Yiquing Yin sont allés puiser dans l’imagerie animale, s’inspirant d’insectes, de coraux, d’oiseaux et de papillons.

À propos du Palazzo Pitti

Acquis en 1550, le palais fut choisi par Cosme de Medicis et son épouse Eléonore de Tolède comme nouvelle résidence grand-ducale. Le palais devint rapidement le nouveau symbole du pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce fut aussi le palais royal de deux autres dynasties: la Maison Lorraine-Habsbourg (qui succéda aux Médicis de 1737) et les rois d’Italie de la Maison de Savoie, qui l’occupa depuis 1865.

Néanmoins, le palais porte encore le nom de son premier propriétaire, le banquier florentin Luca Pitti. Il avait ordonné sa construction au milieu des années 1400 au pied de la colline de Boboli, au-delà de l’Arno.

Aujourd’hui, le palais est divisé en quatre musées: le Trésor des Grands-Duc au rez-de-chaussée, la galerie Palatine et les appartements royaux et impériaux au premier étage, la galerie d’art moderne et le musée du costume et de la mode au deuxième étage.

Crédits : FirenzeFiera ; Uffizi.it

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